Témoignages

3 juin 2023 :

Ce message simple pour vous dire merci. Je vous ai découvert sur Youtube il y a 5 ans, fait un entretien video avec vous, acheté votre formation. De tous les thérapeutes que j’ai vu, vos enseignements sont de loin ceux sont qui m’ont fait progresser le plus vite et le mieux, qui propose des outils concrets.

Je me demande d’ailleurs comment se fait il que la psychiatrie soit si inefficace et pourtant mise à toutes les sauces comme première et seule solution. Pareil pour la psychothérapie, qui manque d’outils concrets, de reprogrammation de l’inconscient etc….

Je suis sorti de la dépression, l’anxiété et la dépersonnalisation grâce à vos enseignements. Je continuerai à vous suivre pour la méditation et la spiritualité. Un immense merci. Maxime M

Sur google :

Après 35 ans de DPDR, Eric remacle m’a libéré de cette maladie, je n’y croyais plus ….. Mille mercis !

Jean, Le Havre, France

En 2 séances vous avez réussi à diminuer ma DPDR de 90%, c’est incroyable. j’ai hâte de continuer pour arriver à 100%.. 🙂

Kevin, Paris, France

Je voyais la vie dans un brouillard depuis 4 ans et vous m’avez permis de retrouver espoir et goût à la vie, je revis et mon copain vous adore !!

Elsa, Charleroi, Belgique

J’ai pu rencontrer pas mal de professionnels dans le domaine du bien-être, mais aucun d’entre eux n’était aussi bienveillant. Beaucoup proposent des thérapies brèves sur 10 séances. En deux séances, j’ai pu dissoudre certains traumatismes enfouis, j’arrive à mieux comprendre et à gérer mes crises d’angoisse. Merci Eric. »
 
Wesley, île de la Réunion, mai 2018

100% de ces témoignages sont authentiques.

La plupart désirent garder l’anonymat.

Il y en a des dizaines d’autres ..

 
01/10/20 : Bonjour Eric,
Nous nous sommes rencontrés pour deux séances cette année, car j’étais en dépersonnalisation. Les deux fois, en terminant la séance satisfaite, avec un apaisement de savoir être suivie pour cette chose qui m’envahissait, d’être comprise dans la douleur que cela peut représenter, et son mystère, peu de psychologues connaissent profondément ce mécanisme. 
Comme à mon habitude, j’ai coupé contact, enfin, je n’ai pas demandé un suivie régulier.
Depuis, j’ai réalisé un stage en art-thérapie, dans un Centre de Santé Mentale à Madagascar, un endroit fabuleux.  J’ai beaucoup appris sur moi, et sur les causes profondes de ma dépersonnalisation, outre le facteur déclencheur de mon ancienne relation de couple. 
Nos rencontres et ce stage ont été complémentaires, je pense que les deux été importants : l’un pour me rassurer, me redonner du courage, l’autre pour mieux comprendre, et me reconstruire différemment.
Cela a été passionnant de déficeller mes comportements et cognitions facteurs de ma dépersonnalisation. La dépersonnalisation est un processus très intéressant, car en effet, pour en sortir il demande de se réviser, de se regarder en douceur, de réellement sortir de son confort, et de ses habitudes pathogènes, en tout cas dans mon cas. Je comprends que c’est bien plus que de l’anxiété, ou que l’anxiété à des racines dans tout les sens en nous, qui mérites d’être coupées parfois, transformées.
Je vais mieux. Je suis pleine de gratitude pour la vie ! Je me rends de plus en plus compte que c’est moi qui vis dans mon corps, que je suis la réalisatrice de ma vie. Sortir de la dépersonnalisation n’est pas comme prendre un doliprane et le mal s’en va. C’est pour cela que j’aime cette dépersonnalisation qui m’est arrivé (qui m’arrive encore ?). Je sais qu’elle peut revenir, mais c’est d’accord. Car aujourd’hui, je comprends que le plus important n’est pas dans le fait d’être personnalisé, mais d’être ancré en soi, dans un développement constant, et là, la personnalisation arrive. Je veux dire, si je grandis et cherche à grandir toujours, alors je vais bien, c’est surtout ça. La personnalisation n’est plus qu’une conséquence. J’aime cette dépersonnalisation, car elle m’a obligé à revoir mes habitudes de vie, mes comportements, mes pensées, elle est mon alerte pour me dire que je divague, que je me trompe, que je me déconnecte du réel. Elle n’est que le résultat d’une façon d’être qui ne me convient plus. Alors aujourd’hui, je suis ancrée dans la vie, c’est un travail de tous les jours, et c’est pour cela que j’aime ça. Les perspectives de connaissances de soi et du monde sont immenses alors !!!
Je sais mieux ce que je veux pour mon avenir, et j’ai cette excitation en moi maintenant, de me dire que je peux obtenir ce que je veux, car maintenant, j’ai conscience de moi, et réalise peu à peu ma richesse et mon soleil.
 
Merci Eric, d’avoir compris, de votre présence quand la dépersonnalisation était la plus embêtante, de votre douceur,
Ce témoignage pour moi, pour d’autres, Solenn

Je forme aussi des thérapeutes pour les aider à traiter les troubles de DPDR de leurs patients : 

Témoignages de thérapeutes ayant participé à la formation « Se libérer de la déréalisation et dépersonnalisation » dans le cadre de l’Institut Milton Erickson de Belgique (cliquez sur la phrase pour voir tous les témoignages des thérapeutes)